J’étais la, et je me demandais pourquoi je n'étais plus avec Vivianne... La majestueuse boule bleue illuminait la nuit telle une diva. Le doux souffle du vent passait dans les plis de ma cape la fessant virevolter. Je marchais d'un pas lent, regardant la mer qui était à ma gauche. Le doux bruit des vagues qui frappaient le dos des roches m'emplissait d'un réconfort. Aucun nuage n’était dans le ciel et on pouvait très bien voir les étoiles qui scintillaient au loin. Je n'avais point d'endroit pour dormir et je devais m'en trouver un. Mais où?
Dans cette belle nuit fraiche, je ne rencontrai personne. Tous étaient calmes et paisible et les arbres semblaient heureux. Puis après un certain temps, je croisai une femme qui pleurait à chaude larme. Quand elle me vit, elle fit demi-tour et partie dans l’autre sens en courant.
** elle est zarb cette femme…**
Finalement, un envie me titilla. Je me décidai donc d’aller me mettre les pieds dans la mer question de relaxer et de penser a tous ce qui mes arrivé. Je m’approchai doucement et enleva mes chaussure et mes bas. Ensuite, je me glissai dans l’eau jusqu’aux genoux.
L’eau était froide mais peut importe, cela fessait du bien. Je fermai les yeux et me concentra sur les événements passé.
J’étais la avec mon équipe, nous traquons Le démon… celui qui avait tout dévasté… et puis, je l’es provoquer en duelle. Par la suite, je me suis retrouvé ici… Et on fini par me dire que j’ai été téléporté… J’entrouvris les yeux, je ne pouvais point assumer que mon équipe était seul là-bas sans moi…
Je me relevai, l’eau perlait sur mes cuisses et je séchai mes jambes avec ma cape. J’enfilais mes bas et mes souliers et par la suite, je repris ma marche sur le bord de la mer. Le claire de lune me laissa voir une silhouette non loin qui avançait vers moi, une faux dans une de ses mains…
" Bonsoir monsieur que faite vous ici a cette heure la ?".
Intriguer, je m’approchai un peu plus pour mieux le voir. Il tenait une petite fille dans ces bras. Si il était capable de tenir une faux comme celle la avec une main ces qu’il doit être très fort… Un coup de vent passa dans mes cheveux. Je le détaillais du regard, il ne semblait pas mauvais, mais comme dans mon ancien métier, il ne fallait jamais prendre de risque, sinon cela pourrais nous couter la vie.
et bien je fais comme vous, je prends du bon temps au claire de lune, je lui fis un sourire en coin, espérant qu'il comprenne que je n'était point la pour me battre.