FORMULAIRE DE PRESENTATION VAMPIRE
Nom : Capulet
Prénom : Erza
Age ( apparent ) : 19 ans
Sexe : Féminin
Préférence sexuelle : bi
Faiblesse/peur : La chaleur
Armes : Une épée
Description des armes : La seule et unique arme qu’Erza possède est une épée. Mais pas n’importe laquelle. Elle a été transmie de mère en fille depuis plus vingt-six générations de vampires , exceptée celle de sa mère qui n’a jamais été mordue. C’est sa grand-mère qui le lui a transmise en secret. Elle a donc connu beaucoup de bataille et s’adapte parfaitement à chaque femme de la famille Capulet. Longue et légère, elle est facilement maniable. Sa lame est d’un côté noire, de l’autre blanche. Au bout de son paumeau d’or, on y trouve une rose rouge écarlate, dont la tige court tout le long de l’épé avec ses épines empoisonnées. Il y a quatre-vingt épines. Une pour chaque génération. Le poison qui est enfermé est très rare mais surtout très puissant. Il faut donc l’utiliser seulement si l’on en a vraiment besoin. Vingt-six sont ouverte. Erza hérite de la vingt-septième. Il suffit de tourner la rose pour l’actionner. Il est strictement interdit d’ouvrir deux épines…personne ne sait pouquoi. Seule la première vampire de la famille le sait.
Pouvoir : Invisibilité ( + lévitation )
Description du pouvoir : Se déplacer sans que personne ne vous voit, c'est un gros avantage. Mais rien n'empêche que quelqu'un puisse l'entendre, la sentir. Elle peut recevoir des coups si son adversaire l'a bien repéré, et dans ce cas c'est inévitable.
Stade 1 : Ne peux disparaître que pendant dix secondes.
Stade 2 : Ne peux disparaître que pendant quinze secondes.
Stade 3 : Ne peux disparaître que pendant vingt secondes.
Stade 4 : Ne peux disparaître que pendant vingt-cinq secondes ( + fatigue qui l'empêche d'utiliser son pouvoir pendant cinq minutes )
Stade 5 : Ne peux disparaître que pendant trente secondes ( + très grande fatigue qui l'empêche de disparaître pendant dix minutes, sinon, sa santé en prend un coup )
Description physique du personnage : Erza est comme tous les vampires : une beauté suprême à la peau cadavérique. Elle possède des cheveux argentés, voir blancs qui lui tombent sur les fesses et qu’elle n’attache jamais.Son visage est fin avec une peau lisse et douce comme de la soie. Ses yeux sont deux rubis : rouges comme le sang dont elle se nourrit. Tout comme son visage, son nez est fin avec un bout rond, et ses lèvres autrefois rouges, ne sont plus que d’un rose pâle. Sa poitrine généreuse et bien dessinée attire beaucoup les regards et les mains baladeuses qui le regrettent amèrement si la jeune fille n’est pas consentante. Le reste de son corps est aussi svelte que celui de ses compaires.
Pour ce qui est de sa tenue, Erza aime être provoquante. Elle ne porte que du noir et du rouge. Ses hauts ont toujours un grand décolté qui laisse apparaître une bonne partie de sa poitrine, et s’arrêtent juste au-dessus de son nombril. Elle porte des jupes courtes pour la chasse, et longues pour ses balades ou quand elle reste à la maison. Généralement, ses pieds restent nus, mais il lui arrive parfois de porter des bottes à talons qui finissent souvent sur les visages ou les parties intimes des hommes…un peu trop curieux. Pour finir, il y a toujours une cape sur ses épaules, grande et noire, avec une capuche très large qui cache aussi bien son visage que sa chevelure.
Dernier détail : le rosaire attaché autour de son cou. Le collier est fait de cuir et lui serre la groge. De petites chaînes sont là pour faire jolie, un plus qu'Erza a ajouté. Mais le plus important est cette grande croix en argent qui tombe sur sa poitrine. Au milieu, il y a un oeil de verre rouge sang, à l'iris fendu comme un serpent. Celui-ci brille la nuit.
Description mentale du personnage : Erza est assez déroutante. Elle peut très vous faire la tête du jour au lendemain sans raison valable. Capricieuse et égoïste, quand quelque chose lui appartient, il est hors de question qu’elle prête, y compris pour les êtres vivants. Parce qu’elle a peur d’être seule, elle éprouve un certain besoin d’accaparer les gens. A part ça, c’est une jeune fille très douce et très gentille. Mais aussi maternelle avec les enfants. Provocante, elle aime plaire aux autres et ferait tout pour atteindre le cœur de son bien aimé.
Ne jamais mettre Erza en colère si vous n’êtes pas son ami. A la moindre pique, elle sort son arme avec la forte envie de découper des têtes. Oui, c’est un vampire au sang chaud. Mais ne vous inquiétez pas, il y a toujours quelqu’un pour la gronder ou la retenir de faire un massacre. Par contre, elle ne se retiendra pas de vous jouer de mauvais tours, comme vous figer alors que vous alliez vous asseoir et que dix secondes après vous vous retrouvez à terre.
Ses goûts : elle aime le sang des animaux, le vent, la pluie, la fraîcheur, les balades nocturnes, les jeux, s’entraîner, les roses et chanter.
Histoire du personnage : Mon histoire a peu d’importance pour moi. C’est ce que je pensais alors que je n’avais que quinze ans. Mais avant d’en arriver là, retournons un peu plus loin dans le passé…
Je suis née dans une famille banale avec un père cuisiner et une mère couturière. Lui ne pensait qu’à son travail, elle était encore en train de traîner dans les jupons de sa mère, à lui obéir au doigt et à l’œil. Nous menions une vie paisible jusqu’à ce qu’ils divorcent alors que je n’avais que deux ans. Ma mère ne supportait plus mon père, allant même jusqu’à mentir pour gagner le divorce. J’ai peu de souvenirs de cette période là de mon enfance et pendant longtemps je me suis coupable de leur séparation.
Arrivée à l’âge de cinq ans, tous deux trouvèrent un nouveau compagnon. Mon beau-père m’apprenait à faire du vélo, tandis que la petite amie de mon père jouait le rôle de la grande sœur que je n’ai jamais eu. Un rôle qui lui plaisait beaucoup.
Chez lui, je me sentais bien parce qu’il me comprenait. Chez elle je me disputais tous les trois jours avec son amant qui voulait que je l’appelle « papa ». J’ai gardé mon sang froid jusqu’à l’âge de dix ou onze ans. Entre temps, ma mère m’avait donnée une petite sœur et un petit frère que j’avais aimé.
Un soir, pour la énième fois je me disputais avec mon beau-père quand il m’a prise par le bras et m’a jetée dans le hall d’entrée de la maison. Il m’aurait mise dehors si ma mère, assise à table, ne lui avait pas demandé d’arrêter sur un ton qui mélangeait inquiétude et lassitude. A bout, elle m’a donnée le téléphone en me disant d’aller vivre chez mon père. Je crois que j’aurais préféré être mise à la porte par mon beau-père, que par elle.
Chassée de mon foyer, je suis allée vivre chez mon père où j’y ai vécu les plus belles années de ma vie. Quant à ma mère…je l’ai revu pendant deux ans, puis plus rien.
Rebelle dans ma période d’adolescente, je me fichais des études et seul la recherche de l’amour m’intéressait. La bonne élève que j’avais été enfant, devenait la pire de toute la classe. J’écrivais, je chantais, je voulais trouver un moyen de donner un peu d’action à mon existence devenue si ennuyeuse. J’avais quinze ans.
Le soir de mes dix-neuf ans, j’étais sortie en boîte, seule plus que jamais, à boire et à danser toute la nuit, collée aux garçons qui n’étaient là que pour avoir quelqu’un dans leur lit. Il était trois heures lorsque j’ai décidé de rentrer après avoir embrassé goulûment un homme sexy mais complètement bourré. Je n’avais plus imaginé depuis près de deux ans que les vampires et les lycans étaient parmi nous, jusqu’à ce que je tombe sur l’un d’entre eux . C’était un homme des plus séduisants qui soit. Malgré la pâleur de son visage, il était aussi magnifique que la lune qui nous éclairait ce soir là. Ses cheveux noirs coupés courts, ses yeux perçants, ses lèvres si délicates et provocantes. Même l’odeur qu’il dégageait m’avait enivrée. L’apparition de ses canines ne me fit aucun effet, à part peut-être, me donner envie de mourir. Sans un mot, je me suis approchée de lui, les poignets tendus en avant. Mon geste le déconcerta sûrement et lui fit froncer les sourcils. « Tues-moi, bois mon sang » lui avais-je dit. D’un geste vif et brutal, il m’avait attrapée et plaquée contre le mur d’une force incroyable. Pourtant je n’avais pas peur. Je voulais qu’il mette fin à la vie que je menais. Trop lâche et pas assez stupide pour me suicider, je voyais une chance de renaître devant moi. J’ai senti ses doigts parcourir mes bras jusqu’à mes poignets qu’il avait approché de ses lèvres pour y déposer des baisers. Pour une raison que j’ignore, cette nuit là, il m’a ôté mon titre de jeune vierge dans une ruelle sombre et glaciale comme sa peau. Peut-être avait-il eu pitié de moi. Quoi qu’il en soit, pendant cet instant de bonheur et de plaisir, je l’ai aimé. Aimé comme un amant. Puis arriva le moment où il fallait mettre fin à mes jours en me mordant le coup. Après les hurlements de plaisir, ce fut les hurlements de douleur. Le poison qui s’infiltrait dans mon sang me brûlait la tête. Et je pleurais…attendant que tout cesse.
Le lendemain matin, je me suis réveillée dans une pièce sombre où la lumière n’avait pas sa place. Deux bras m’entouraient. Leur douceur, je la connaissais bien. Il était là, endormi comme un enfant. Bizarrement, je trouvais que son corps était chaud, quand j’ai compris que je n’étais plus la même. Dans ma bouche je sentais un goût de fer et quelques tâches rouges ornaient mes mains comme des rubis. Du sang.
Quand il s’est réveillé le soir, il m’a regardé. Moi j’étais restée dans ses bras, me touchant un peu partout pour découvrir mon nouveau corps pâle et glacé. Il s’est rapproché de moi et m’a murmurée à l’oreille de sa voix sévère : « c’est ta punition pour ne pas avoir accordé plus d’importance à ta vie ». Avant, je me fichais complètement de mourir car tel était notre destin à tous, humains. Mais maintenant, ne plus vieillir et savoir que je resterai en vie pour l’éternité me faisait peur.
Alors que les larmes coulaient, il me refit l’amour.
Pendant près de mille ans nous sommes restées ensemble. J’ai vu mes parents mourir, ma sœur et mon frère grandir puis mourir à leur tour. La journée, je me reposais dans les bras de mon amant. Le soir, je chassais et apprenais à survivre en évitant les lycans.
Une nuit de pleine lune, je suis restée à la maison parce que je n’avais pas encore faim, laissant seul mon amant partir à la chasse. Il n’est jamais revenu. J’ai appris la nuit suivante qu’il était tombé dans un piège et qu’il n’avait pas pu s’en sortir. Accrochée à un arbre, au levé du soleil, il disparut. Même cent cinquante ans plus tard je le pleure encore, haïssant plus que jamais les lycans.
Aujourd’hui, j’ai soif de pouvoir pour éliminer cette race impure. Le seul trésor qui me reste, c’est le rosaire de mon cher et tendre qui ne me quitte jamais et qui est attaché autour de mon cou pour me rappeler à qui et pour quoi je me bats.